Faire le « bon » choix, c’est une idée qui angoisse la plupart d’entre nous dans une société qui offre tant de possibilités.

En nous libérant du poids des conventions et en faisant voler en éclats les chemins tout tracés que suivaient les générations précédentes, nous avons sans cesse de nouvelles décisions à prendre. Même dans les actions les plus simples telles que se nourrir ou se vêtir, nous avons l’embarras du choix.
Cette abondance de choix nous rend, en fin de compte, plus malheureux et moins sûrs de nous.

De plus, nous attendons trop de nos décisions. Nous sommes vite déçus lorsque nos choix ne donnent pas les résultats espérés.
Nous ressentons également de la frustration car faire un choix, c’est renoncer à tous les autres !

Les sollicitations du monde extérieur influent sur nos envies. La société dans laquelle nous vivons crée sans cesse de nouvelles propositions. Au final cela restreint notre liberté de décision… C’est paradoxal !

Alors si faire le « bon » choix, c’était :

• Accepter que tout ne dépend pas de nous ?
• Accepter de ne pas choisir en laissant la vie venir à nous ?
• Accepter aussi de se tromper ?
• Accepter les choix que l’on a fait ?

« La pire décision de toutes est celle que l’on a pas prise »

Zig Ziglar